ACAT

Présentation

L’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture est une ONG oecuménique de défense des droits de l’homme.

Notre mission

L’ACAT agit pour faire respecter les valeurs universelles des droits de l’homme et du droit humanitaire. “Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants”. Déclaration universelle des droits de l’homme, (article 5)

Sa mission est strictement définie :

Combattre la torture

Abolir les exécutions capitales

Protéger les victimes d’atteintes aux droits humains

Défendre le droit d’asile

L’ACAT enracine son combat à la fois dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans sa foi, en référence à l’Evangile :

“Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait”. Matthieu 25,40

Pour qui l’ACAT agit-elle ?

Pour tous, dans le monde entier, sans distinction idéologique, ethnique ou religieuse. En France, l’ACAT agit pour le droit d’asile et le respect de la dignité en prison. Son activité de plaidoyer auprès du gouvernement et des institutions, concerne des situations en France ou dans le monde.

De qui dépend l’ACAT ?

Le financement de l’ACAT repose sur la générosité de ses donateurs et de ses adhérents : dons, adhésions et legs.

Comment l’ACAT aide les victimes ?

Par la mobilisation de ses membres : lettres d’interventions auprès des décideurs / mobilisation de l’opinion publique / Correspondance avec des détenus, des condamnés à mort et leur famille / Sensibilisation des églises.
Par l’analyse et l’expertise : par les rapports qu’elle publie, l’ACAT alerte et éclaire les acteurs étatiques, onusiens et la société civile sur les situations d’atteinte aux droits humains
Par des actions en justice
Par le soutien à des associations locales de défense des droits humains et la formation de défenseurs
Par son service « Asile », en protégeant ceux qui risquent d’être torturés ou condamnés à mort en cas de retour dans leur pays.
Par la veille qu’elle mène sur les conditions carcérales et les violences policières

Elle inscrit aussi la prière qui au cœur de l’action.